Champs de synchronicité
Jusqu’ici, la relativité générale décrite par Einstein, représente les fondements de notre vision contemporaine de la réalité et de tous les principes de fonctionnement de l’univers. Ses lois ont pour ainsi dire, imprégnées tous nos résonnements scientifiques, et toutes nos constructions technologiques.
Elles ont également façonnées nos consciences individuelles et collectives. En son temps, Darwin avait déjà ouvert la voie vers une science, qui a donnée à l’humanité les moyens de se défaire des contraintes trop sectaires des religions. Aujourd’hui, la science est synonyme de progrès et de confort, elle représente la vérité et la maitrise de notre condition humaine.
Pour simplifier, la science est construite autour de 3 concepts principaux que nous connaissons tous ;
La vitesse de la lumière est de 300 000 km/seconde, et rien ne peux déplacer cette vitesse.
Tout phénomène est régit par le principe de causalité, soit d’un facteur cause qui produit un effet.
Le mécanisme d’évolution biologique fonctionne d’une façon non déterministe (autrement dit par le hasard), à partir des gènes et de l’ADN, et s’affine en fonction des sélections naturelles de son environnement. (Article : Le hasard : le joker des scientifiques !)
Paradoxalement, on pourrait presque dire que la science fonctionne comme une sorte de religion, dont Darwin, Einstein et bien d’autres, représentent les dieux de référence que personne n’ose contredire. Seulement voilà, la science se trouve confrontée aujourd’hui à une nouvelle théorie qui contredit la relativité générale et le principe d’évolution présenté par Darwin : la mécanique quantique.
En résumé, voici les découvertes les plus significatives de la mécanique quantique ;
2 particules subatomiques, produites à partir d’une même source, garde un lien de communication intemporelle et instantané, quelque soit la distance qui les séparent (Quelques centimètres ou des milliards d’années lumière). Dans ce cas, on ne peut même plus parler de vitesse de transmission de l’information, il n’y en a pas !
Quand on observe l’état d’une particule subatomique, elle change instantanément d’état, comme si l’observateur avait une influence sur cet état. Des particules subatomiques farceuses, qui sont influencées par nos pensées ?
Mieux encore, 2 états différents peuvent être observés en même temps, comme si on superposait 2 réalités différentes au même moment. Cela rappel les mondes parallèles de nos romans de science fiction !
Non, tout ceci n’est pas de la science fiction. Ce sont de véritables découvertes scientifiques sérieuses, qui on été étudiés dans un premier temps par les mathématiques au début du 20ème siècle, puis démontrés matériellement, avec des expériences faites dans des laboratoires comme l’accélérateur de particule du CERN. Les premiers à avoir pu télé porter un état d’une particule à l’autre, sont des chercheurs Autrichiens, en 1995 (Article : Quand la science rejoint le paranormal ! )
S’il existe une simultanéité de communication entre des particules nées de la même source, cela voudrait dire qu’il existe une multitude de champs d’interconnexion imbriqués les uns dans les autres dans toute la matière de l’univers, et que quelque part, nous sommes tous connectés au moins à plusieurs sources communes ; l’univers, notre galaxie, notre système solaire, la terre.
Il n’y a qu’un pas pour accréditer la théorie des champs morphiques de conscience, qui parle d’une mémoire ou d’un réseau de communication intemporelle, disponible pour les être vivants d’une même espèce, quelque soit leur distance sur terre ou ailleurs. Les champs sont cumulatifs et éternels, ils emmagasinent de plus en plus d’information, qui améliorent les performances des êtres qui y sont connectés inconsciemment, aboutissant ainsi à une inconscience collective.
Extrait d’Effervesciences N°48, provenant du site : http://www.effervesciences.com/ :
« MC Dougall réalisa en Angleterre des expériences sur les rats pour leur apprendre à choisir entre deux sorties d’une cage, l’une éclairée mais assortie d’une forte décharge électrique et l’autre sombre mais sans choc électrique. La première génération de rats commit 165 erreurs, la trentième n’en commettait plus que 20. La même expérience réalisée à 20 000 km de là, en Australie, montra que les rats australiens avaient bénéficié de l’apprentissage de leurs confrères anglais… »
(Article : L’autre science)
(Article : De la mémoire de l’eau à celle de l’univers)
Jung Carl Gustav à été le tout premier, au début du 20ème siècle, à parler de l’inconscient collectif, et d’en comprendre les mécanismes. Il a été le premier à mettre en évidence que l’inconscient personnel ne dépendait pas que des évènements vécus dans l’enfance, des traumatismes ou de la vie sexuelle des individus, comme l’affirmait Freud. Pour Jung, l’inconscient personnel est directement connecté à l’inconscient collectif, gouverné par les symboles et les archétypes de nos mythes, légendes et religion.
Jung et Freud était de grand amis, et on travaillés ensemble sur la psychologie humaine, mais quand la théorie de Jung est arrivée, sur la psychologie des profondeurs (qui allait devenir l’inconscient collectif), leur amitié n’a pas survécue. Freud n’admettait pas de prendre en compte des notions religieuses et ésotériques, dans les recherches scientifiques, lui qui était tellement attaché à la théorie Darwiniste, et à la science conventionnelle.
Et pourtant, Jung a probablement ouvert la porte vers les champs morphiques qui nous unissent tous, vers une nouvelle communication, celle qui fait le lien entre la matière et l’esprit.
(Article : La magie des symboles)
Un peu plus tard, Carl Gustav Jung rencontra Wolfgang Pauli (l’un des pionniers de la physique quantique). Ils devinrent amis pour toujours, et fondèrent les bases des premières recherches scientifiques sur la Synchronicité.
Ensemble, ils apportèrent la première brique d’une future science, qui régit le lien entre la matière et l’esprit.
Pourquoi avons-nous plus d’affinité avec une personne, qu’avec d’autres ?
Pourquoi certains évènements arrivent-ils exactement au moment idéal, comme nous l’imaginions ?
Pourquoi un enchainement improbables d’évènements arrivent-ils, contre toute attente ?
Pourquoi avons-nous certains sentiments de déjà vue ?
Pourquoi avons-nous le sentiment que le hasard n’existe pas ?
Tous ces exemples s’expliquent par cette notion de synchronicité, quelque chose devient synchrone, en parfaite résonnance. C’est en fait ce qui se passe à l’intérieure d’un champ morphique, dont son rôle est d’assurer l’harmonie structurelle, ainsi que le partage de sa mémoire pour tous les êtres qui en font partie. En d’autres termes, la synchronicité existe par l’intermédiaire des champs morphiques de conscience, auxquels nous sommes tous connectés.
Carl Johan Calleman présente une théorie qui rejoint ce concept, et qui est en plus conforme à l’interprétation des étapes du calendrier Maya.
Extrait du Sepher Yetsirah (Livre Kabbalistique de la formation, à l’origine de la tradition de l’arbre de vie Kabbaliste) :
6 directions à partir du centre, chapitre 1-13 – « Il choisit trois lettres parmi les simples dans le mystère des trois mères : Aleph (souffre), Mem(Eau), Shin(Feu). Il les fixa dans son Grand Nom et scella avec elles six extrémités.
Cinq : il scella le dessus et tourné vers le haut, il le fixa avec YHV.
Six : il scella le dessous et tourné vers le bas, il le fixa avec HYV.
Sept : il scella l’Est et tourné vers l’avant, il le fixa avec VYH.
Huit : il scella l’Ouest et tourné vers l’arrière, il le fixa avec VHY.
Neuf : il scella le Sud et tourné vers la droite, il le fixa avec YVH.
Dix : il scella le Nord et tourné vers la gauche, il le fixa avec HVY. »
Calleman pense qu’à la création de l’univers, au moment du BigBang, un arbre de vie (ou structure géométrique à 6 directions) aurait été créé en même temps, au centre d’un halo, vers 6 directions. A l’intérieur de ce halo, l’arbre universel va créer d’autres arbres de vie, accompagnés de leur propre halo ou champ d’influence, qui vont constituer les galaxies. Chaque galaxie, dans sa sphère d’influence, va orienter les systèmes stellaires dirigés eux aussi par un arbre de vie, qui eux même vont créer des arbres de vie planétaires, puis organiques, puis cellulaires, ou encore atomiques.
Chaque arbre de vie, à son niveau, est toujours en communication avec son arbre de vie supérieur, qui lui insuffle son plan d’évolution de conscience, par des effets de synchronisation structurelle.
L’ensemble de la création serait donc composée d’une infinité d’halo et d’arbre de vie (ou de champs morphiques), emboités les un dans les autres, qui on pour objectif de transmettre le plan d’évolution de leurs pères, venant de l’arbre de vie universel, depuis le centre de l’univers.
Calleman aurait découvert que ce plan d’évolution de la conscience est parfaitement conforme aux étapes et synchronisations décrite dans le calendrier Maya.
(Article : 2012, la fin de quoi ? )
En Grèce, il y avait 2 dieux du temps ! Kronos et Kairos (moins connu).
Kronos régissait le temps conventionnel (celui qui est notre référence), tandis que Kairos gérait le temps relatif, celui qui correspondant aux champs de synchronisation des évènements.
En fait, on ne serait pas si éloigné de la vérité si on disait que le calendrier Maya, grâce à l’utilisation du temps de Kairos, participe à la description du plan d’évolution des champs de synchronisation de la conscience, ceux qui assurent la cohérence des relations entre la matière et l’esprit.
La magie des symboles
Depuis la nuit des temps, ou plutôt, depuis qu’il existe une intelligence sur terre, les symboles nous ont portés vers toujours plus de communication, et sans cesse, vers de nouvelles formes de pouvoirs et de consciences.
A partir du moment où l’homme a commencé à vouloir transmettre une expérience, influencer la nature ou les dieux, son premier geste a été de tracer quelques lignes pour représenter quelque chose de puissant et d’éternel. La naissance des religions sur terre a très certainement commencée à cet instant précis, quand l’homme a pris conscience de son pouvoir en dessinant un simple symbole (Voir article : La magie, la religion et l’art préhistorique).
Par la suite, les idées et les représentations de ces premiers tracés ont formés les premières écritures. Il ne faut pas oublier qu’avant de devenir des lettres qui composent des mots, chaque symbole était avant tout une image, un symbole avec une signification particulière.
Par exemple en écriture cunéiforme sumérienne, avant de devenir un ensemble de petites marques en forme de clou, les symboles étaient des animaux ou des objets qui ce sont transformées, simplifié pour écrire plus vite, et pour prendre le moins de place possible sur les petites tablettes d’argiles.
Mais le plus important, c’est que l’essence même de l’image d’origine est restée, et a été véhiculée pendant sa transformation.
Les exemples les plus significatifs sont bien évidement les hiéroglyphes Égyptiens, qui représentent clairement une identité visuelle, un animal, un objet ou une action, et qui au fil du temps on donné le Copte, le hiératique, le Démotique et plus tard les signes arabes.
Mais à la base, tout part d’un symbole, d’un alphabet visuel.
Très vite, la combinaison d’utilisation des symboles dans l’écriture, est devenue multiple et permettait d’exprimer plusieurs niveaux de langage. Dans l’écriture Egyptienne il existait 3 niveaux de compréhension.
Le premier niveau est le plus simple, c’est la traduction littéral des symboles en consone (car les voyelles n’étaient pas utilisées), et donc en mots et en phrase, c’est le niveau que Champollion à réussit à traduire en 1821, grâce à la pierre de rosette, qui présentait un texte en 3 langues, l’Egyptien Hiéroglyphique, le Démotique et le Grec.
Le deuxième niveau, quand à lui, requière une bonne connaissance de la culture de l’époque, qui utilise la symbolique des images de chaque Hiéroglyphe, ce qui est beaucoup plus délicat, car les images de l’ancienne Egypte n’ont pas le même sens à notre époque, étant donné que notre culture est radicalement différente. Seulement une partie de ce niveau nous est compréhensible aujourd’hui, grâce aux connaissances grandissantes des Egyptologues.
Le troisième niveau est pour ainsi dire, inconnu, obscure, mystique, voir ésotérique. En fait, il utilise des significations cachées, sur des symboliques divines, composées par des ensembles de symboles, déterminé par leurs positions, leurs tailles, et beaucoup d’autres choses totalement inaccessibles dans l’état de nos connaissances actuelles, et que les Egyptologues croient faussement comprendre.
Toutes les civilisations possédant l’écriture on chercher à codifier leur langage et écrit, pour préserver leurs valeurs les plus sacrées, magiques et hermétiques, aux yeux des profanes, tout en garantissant une sauvegarde pour les individus initiés du présent et du futur.
Très tôt, les Leaders religieux, militaires et politiques ont compris le pouvoir fédérateur et concentrateur des symboles. Un étendard ou un drapeau par exemple, suffit à motiver et à unifier une force coordonnées de milliers, voir de millions de personnes, vers une même direction.
Tout le monde se concentre sur une image unique qui renvois à toutes les valeurs qu’elles représentent, aux quelles ont adhère ou au contraire, on rejette.
Voici un exemple : En regardant ces 2 symboles, la distinction est immédiate. Le cortège de sensation, d’émotions ou de convictions que ces images véhiculent, est très profond.
A gauche, le sentiment de vaillance, courage, force, la royauté, l’Angleterre, un roi et un peuple juste etc…
A droite, la guerre, la dictature, les militaires dans leurs pires aspects, les crimes contre l’humanité, etc…
Il a fallut une fraction de seconde pour faire remonter instantanément toutes ses descriptions dans notre tête, et d’une façon complètement inconsciente. Si on interrogeait le monde entier, ayant accès à la culture occidentale, plus de 90% répondrait exactement la même chose, avec les mêmes descriptions, surtout pour la croix gammée qui à laissé beaucoup plus de trace dans le monde.
Mais, il existe d’autres symboles, étant à l’origine de toutes les cultures du monde, les racines communes de nos actions et pensées inconscientes, c’est ce qu’on appel l’inconscient collectif, qui remonte à la nuit des temps, et aux origines des premiers symboles.
En d’autre terme, c’est une mémoire ou matrice collective titanesques auquel chaque individu à accès d’une façon inconsciente.
On peut même se demander très sérieusement, si finalement notre liberté de penser n’est pas fortement altéré par cette matrice. Effectivement, les premiers à avoir compris cette évidence, sont nos Leader religieux, militaires et politiques, qui en on abusés très largement depuis toujours, et encore plus maintenant. Si on comprend le mécanisme général, on peut influencer et manipuler les comportements de masse. Sauf, qu’heureusement, il ne le maîtrise pas complètement.
Nos ancêtres en savaient certainement beaucoup plus à ce sujet. Ce qu’une image déclenche en nous est inimaginable, car elle passe par notre inconscient, donc elle agit sur notre inconscience personnel, puis sur notre conscience, sans passer par l’intellect. La majorité de nos actes ne passe pas par notre conscience intellectuelle. Pour s’en convaincre, il suffit d’imaginer le temps passé dans une journée, à essayer de maîtriser les idées et sentiments qui vagabondent dans notre esprit en permanence.
Quand on arrive à comprendre et à maîtriser ce réseau de déclencheur sur l’inconscient, on accède à un véritable pouvoir magique sur les autres.
Et que sont, les talismans et pentacles des mages, les mandalas des moines tibétains ou les charmes et envoutements des sorcières, si se n’est pas une maîtrise parfaite d’une structure symbolique activant un ensemble de déclencheur pour manipuler finalement l’inconscient des individus ?
Il était une fois la lumière
Espace infini, sombre et pesant, silencieux et figé dans le temps, tel était l’origine du commencement.
Et pourtant, tant d’espoir, de volonté et d’amour y étaient potentiellement présent. Comme juste avant la foudre, l’univers attendait le signe d’une étincelle qui le rendrait vivant.
Soudain, un minuscule grain de lumière surgit du néant, aussi beau et aussi frais que le sourire d’un enfant.
Il était si pur, si puissant et si innocent, qu’il irradia tout le cosmos.
Cette source de jouvence nous abreuve toujours depuis les profondeurs du cosmos, depuis la nuit des temps, et pour l’éternité.
Si nous sommes capable d’intégrer cet esprit de vaillance, nous pourrons accumuler assez de la Force, d’assurance et de vitalité, pour tout affronter et surtout pour agir.
Cette puissance intérieure sera indispensable pour nous maintenir en bonne santé. Elle nous donnera un équilibre inébranlable, une stabilité à toutes épreuves.
Grâce à cette Force équilibrante et surtout à ses sensations émotionnelles et vitales, la lumière nous paraîtra merveilleuse, magnifique, belle et éternelle. Elle nous permettra d’adorer et de comprendre la nature. Elle nous inspirera et nous donnera l’envie de créer et de procréer, afin d’être en symbiose avec les cycles de la vie naturelle.
Ce sentiment de réussite forgera nos émotions et notre personnalité intérieure propre. Toutes ces énergies construites s’intégreront dans notre inconscient pour nous rendre encore plus Fort, et transmettre les Fondements de la vie à nos enfants.
L’ensemble de ces fondements Formera l’inconscient Collectif de tous les êtres et renforcera leur foie, qui elle même servira à retourner vers la lumière des origines.
Une fois Cette énergie intégrée au plus profond des racines de notre être, il ne faut pas chercher à la retenir jalousement. Elle doit être redistribué Vers l’univers, pour servir à l’humanité.
Tel un fleuve qui rejoint la mer, Collecteur de toutes les eaux, assurant l’éternité du cycle, les énergies Cosmiques traversent nos âmes et se chargent de notre essence profonde. Elles ne peuvent être retenues, elles doivent être accompagnées pour être revitalisée.
Ainsi va la vie, depuis toujours et pour l’éternité…