Connaissances oubliées de la table d’Emeraude

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« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas « . Cette phrase, extraite de la Table d’Emeraude, à elle seule, a une portée considérable, plus importante que tout ce que l’on peut imaginer.

(Voir Article : La table d’émeraude et des connaissances secrètes)

Elle nous enseigne que tout ce qui est applicable au niveau le plus haut, est également applicable, et de la même façon, au niveau le plus bas, et inversement. C’est une sorte de théorie du tout, bien avant la naissance de la physique, cherchant à trouver une théorie qui décrirait avec les mêmes équations, notre monde, l’infiniment grand, comme l’infiniment petit.

Peut être qu’Hermès Trismégiste, ou plutôt Thot, maitrisait cette théorie, que nos scientifiques n’ont jamais autant cherché qu’à notre époque.

La théorie du Tout, le rêve d’Einstein

En effet, dans toutes les disciplines scientifiques, on s’aperçoit, sans vouloir l’admettre, que les choses sont imbriquées les unes dans les autres, que chaque évènements ne peut être expliqués uniquement par sa causalité, mais par l’interconnexion multiple et infini de toutes choses.

Il existe vraisemblablement une structure commune à tout cet enchevêtrement de réalité. Il existe également, de toutes évidences plusieurs niveaux de manifestation de cette structure.

La table d’émeraude parle de trois philosophies. L’arbre de vie présente dix niveaux de manifestation de la lumière divine, regroupés en quatre mondes. Le calendrier Maya met en évidence neufs inframondes, emboîtés les uns dans les autres.

(Voir Article : 2012, la fin de quoi ? )

Quelque soit le nombre de niveaux d’emboîtement existant réellement, il y en a certainement beaucoup plus que se que l’on imagine.

Les mystères du cosmos

Quand je regarde le ciel et les étoiles, j’ai souvent la même impression : je me vois sur la terre, qui elle-même tourne autour du soleil, qui lui-même tourne autour du centre galactique, qui lui-même tourne autour d’un centre de l’univers, qui lui-même tourne autour d’un autre centre, mais jusqu’à un où ?

De l’infiniment petit à l’infiniment grand

Puis, je me vois composé de cellules, qui elles mêmes sont composées de molécules, qui elles mêmes sont composées d’atomes, qui eux-mêmes sont composés de particules subatomiques, mais jusqu’à où ?

(Vidéo : Générique du film Contact)

De l’infiniment grand vers l’infiniment petit, et de l’infiniment petit vers l’infiniment grand. Plus on avance dans les découvertes scientifiques, et plus on découvre des niveaux supplémentaires d’existences. Les courbes fractales en sont un très bon exemple.

(Voir Article : La nature notre déesse à tous)

Et s’il existait un lien, une interconnexion, entre tous ces niveaux d’existences ?

Cela voudrait dire que nous sommes tous connectés d’une certaine façon, à notre terre, notre soleil et notre univers, par l’intermédiaire de nos cellules, de nos atomes, et au plus profond des particules subatomiques qui composent toute la matière.

Un lien entre la matière et l’esprit

Cela voudrait dire également que la matière est en lien avec notre corps et notre mental, qui lui-même est lié à notre esprit et à tous les autres, par l’intermédiaire des énergies subtiles, formant ainsi une multitude de champs de synchronicité.

(Voir Article : Champs de synchronicité)

Mais, cela voudrait dire également que la matière et les êtres vivants sont liés à des conceptualisations de l’esprit, comme les dessins, les écritures, les symboles, les archétypes, les organisations, les légendes, les rituels, les religions … etc, bref, tout ce qu’un être vivant peu concevoir mentalement et spirituellement.

Alors, partons à la recherche des connaissances oubliées, à travers ce réseau universel d’interconnexion…

Réseau universel d’interconnexions